Le blog d'Elisabeth Robert

La chronique de François Simon

Si vous avez Paris Premiére vous avez forcément vu un jour ou l'autre la chronique de François Simon!!

Moi j'adore!! Le mec va dans les restos, déguste avec une caméra (cachée dans ses lunettes j'imagine?) et on voit tout ce qu'il mange et il donne des notes! Sa voix semble blasée, mais on ne le voit jamais!! Donc je me demande quelle tête il a!!:)

Bon en plus, hormis le fait que parfois ses choix de restos sont hors de prix, il met en appétit!! Il donne de bonnes adresses pour le steack/Frites, l'aligot! Miam merci françois!!!

Et en plus je viens de découvrir qu'il a un Blog!

Alors zioup on file le retrouver en cliquant ICI!

Aaron

J'ai rencontré par hasard un chanteur en écoutant ma radio;), non d'ailleurs il s'agit dun groupe qui a notament écrit une chanson qui s'intitule U turn Lili...

Bon évidemment comme d'hab quand on la découvre personne ne la connaît encore et puis ensuite en fait tout le monde en cause!:) Ok en même temps c'est aussi la BO du film "Je vais bien ne t'en fais pas...."

Mais cette chanson est tellement belle, je l'ai écouté tant de fois lorsque j'étais encore enceinte! Pensez-donc en plus j'avais déjà choisi d'appeler ma fille Lili!!:)

Donc voilà, le groupe s'appelle Aaron, le chanteur est sexy!!!!!! Les paroles sont améres et douces à la fois...

Lili, take another walk out of your fake world
Please put all the drugs out of your hand
You'll see that you can breath without not back up
Some much stuff you got to understand

{Refrain:}
For every step in any walk
Any town of any thaught
I'll be your guide
For every street of any scene
Any place you've never been
I'll be your guide

Lili, you know there's still a place for people like us
The same blood runs in every hand
You see it's not the wings that makes the angel
Just have to move the bats out of your head
{Au Refrain}

Lili, easy as a kiss we'll find an answer
Put all your fears back in the shade
Don't become a ghost without no colour
Cause you're the best paint life ever made

Les paroles traduites:

Lili, fais un tour hors de ton monde inventé
s'il te plait, enlève toutes ces drogues de ta main
tu verras que tu pouras respirer sans faire marche arrière
tu as beaucoup de choses à apprendre

pour chaque pas de chaque marche
dans chaque ville
je te guiderai

pour chaque rue de chaque lieu
chaque endroit où tu n'as jamais été
je te guiderai

Lili, tu sais, il y aura toujours une place pour des gens comme nous
le meme sang coule dans toutes les veines
tu vois, l'habit ne fais pas le moine
tu dois juste faire sortir ces voix de ta tête

pour chaque pas de chaque marche
dans chaque ville
je te guiderai

pour chaque rue de chaque lieu
chaque endroit où tu n'as jamais été
je te guiderai

Lili, aussi simplement qu'un baiser, nous trouverons une réponse
renvoie toutes tes peurs dans l'ombre
ne deviens pas un fantome sans couleur
car tu es la meilleure peinture vivante jamais faite

La couv de mon prochain roman!

Et voilà!!!!!! Elle est belle, elle est simple et épurée!!! Je suis ravie de cette nouvelle couverture enfin terminée!

Dès que mon éditrice voudra bien que je la mette en ligne, j'aurais plaisir à la mettre en avant! Bah vi on est jamais si bien servi que par soi même!:)

Créer sa maison d'édition 4

Où en suis-je de ce beau projet?

Et bien trés loin... Pour le moment je me consacre à la vie de famille, à mes écrits, à la lecture... Bref une vie simple pleine d'instants de bonheur... Mais ce n'est pas parce que je me laisse bercer par le bonheur tranquille que je me décourage!

Déjà j'aimerais réussir à achever mon troisiéme roman mais... il est difficile à écrire... Difficile parce qu'il fait appel à tellement de démons enfouis dans mon passé que j'ai peur de ne me laisser influencer par le côte obscur alors que je suis si heureuse!

Du coup je vais peut-être le laisser reposer un peu dans le fond d'un tiroir et me mettre à l'écriture d'un quatriéme roman en attendant d'avoir le courage de revenir à celui-ci...

Croire en ses rêves!

J'en ai marre!! Marre de tous ceux qui s'obstinent à penser et à dire que sans coucher, sans piston on ne peut pas être édité! Je veux encore croire que les écrivains ne connaissaient pas tous quelqu'un! Et je le crois parce que je lis! Et que lorsque je lis bien souvent j'apprécie ce que je lis! Donc pourquoi penser que l'auteur a couché pour être publié?

Le second truc qui m'agace (là je reviens du Blog de Wrath) c'est que certains ne visent que les grands éditeurs en espérant faire la différence! Mais tellement de personnes savent écrire, tellement de gens ont de l'imagination que bien entendu un éditeur n'a pas à lire chaque manuscrit reçu! Et pusi quelle prétention de se croire au dessus du lot! Bien sûr il faut croire en soi mais pas en dénigrant les autres.

Alors si les auteurs commençaient par envoyer leurs manuscrits aux petites maisons peut-être qu'au moins il seraient effectivement plus lu?!

Pour ma part le monde de l'édition me semble hostile, difficile mais j'ai pourtant trouvé une éditrice qui croit en moi et à compte d'éditeur!!

Alors je ne crois pas que mon bouquin soit mieux que les autres, mais il faut aussi cibler les maisons! Et puis au moins dans uns structure plus petite on cotoie l'éditeur, on travaille avec lui, on apprend pas mal de choses et on sait qu'il va se "défoncer" pour nous puisque l'on est son gagne pain!

Et bien entendu j'ai aussi visé des éditeurs ayant pignon sur rue, ceux que l'on retrouve en tête de gondole dans tous les supermarchés mais... soit ils n'ont pas aimé, soit ils n'ont pas vraiment lu, soit ils ont assez de commandes pour l'année à venir en plus de leurs propres auteurs...

Il ne faut ni se dévaloriser, ni devenir prétentieux à toujours croire que c'est la faute de la maison d'édition si on est pas publié! Non je crois qu'il faut aussi retravailler encore, essayer encore et surtout croire en ses rêves!!!

Et d'ailleurs l'un de mes rêves se réalise réellement avec la sortie de mon prochain roman, parce que pour le coup je me sens appréciée pour mes textes et ce que je suis dans une maison d'éditions sérieuse qui fait tout pour se développer, qui est présente au salon du livre, en librairies et sur amazon ou la Fnac!

Pietra Liuzzo ... Petite maison qui deviendra grande!:)

Off Prime

Je suis fan!!!

La série qui met en vedette Virginie Efira est vraiment sympa! Je trouve l'actrice/ animatrice courageuse et naive! Un régal...

Voici ce que je viens de trouver sur un lien d'internaute:

Virginie est bien le personnage principal de la nouvelle série d'M6, Off Prime, diffusée dès le 9 mai. Fiction ou réalité ? Le plus difficile dans cette nouvelle série est justement de s'y retrouver. Comme dans la vraie vie, la Virginie Efira d'Off Prime travaille sur M6... Mais sa vie privée, ses amis, ses relations amoureuses pas toujours glorieuses ne viennent que de l'imagination des créateurs d'Off Prime. Que les fans se rassurent : Virginie, dans la vraie vie, est beaucoup moins peste que dans la série !

Réalisée par Bruno Solo, écrite en partie par Simon Astier (Kaamelott), Off Prime s'amuse tout au long des 26 épisodes à mélanger éléments de la vraie vie et scénarios déjantés. Les nombreuses guest stars jouant leur propre rôle (Estelle Denis, Laurent Boyer...) ne font qu'augmenter la confusion. Mais le monde grinçant de la télé reste quant à lui bien fidèle à la réalité...

Cliquez pour voir la bande annonce ICI!:)

Et bien moi je trouve le concept vraiment marrant mais alors ce soir j'ai remarqué un ti truc... Les comédiens de la série ont des voix qui me rappellent quelque chose!!! J'ai comme l'impression qu'habituellement certains doublent de célébres acteurs américains!!

J'en ai reconnu plusieurs mais je vais trouver la totalité et je vous redis ça!;)

Au fait le réalisateur n'est autre que Bruno Solo!! Et on retrouve aussi Simon Astier!! Vous savez le frére du roi dans Kaamelott (enfin en vrai c'est aussi le demi-frére d'Alexandre Astier quoi!:))

Enfin pour résumer une petite série trés cool où on fait plus que sourire mais pourvu que ça dure!:)

Bernard Werber

Une soirée avec Bernard Werber…

Le Blog, le monde de l’internet permet de plus en plus une ouverture médiatique à un flot de lecteurs assidus de nouvelles fraîches.
C’est ainsi que l’équipe de com menée par Vincent Baguian (qui s’occupe aussi de la promotion de Zazie et est aussi musicien et parolier) a eu l’idée de proposer à quelques blogueurs de venir rencontrer Bernard Werber pour parler de son prochain livre Le papillon des étoiles en avant-première.
J’ai eu la chance de faire parti de la quarantaine d’intervieweurs en herbe et c’était tout simplement un pur délice de rencontrer l’écrivain mais surtout l’homme passionnant, émouvant, timide et à l’écoute.
Nous sommes donc dans les locaux d’Albin Michel, belle maison d’ailleurs où l’hôtesse nous accueille en tenue de cosmonaute argenté !
Il est ensuite arrivé, vêtu d’un pantalon souple foncé et d’un simple sweat mauve. A l’aise dans ses baskets, il n’a pas eu besoin de se mettre à quatre épingles pour nous impressionner. En effet, dès qu’il a pris la parole nous avons été embarqués dans son délire de fuite de l’humanité, dans ses anecdotes sur son expérience et sa foi envers sa propre méthode de travail.
Il le dit lui-même : « un écrivain c’est comme un musicien qui fait ses gammes au quotidien pour continuer de s’exercer chaque jour. L’auteur doit lui aussi s’appliquer à écrire régulièrement afin d’entretenir la mécanique. » C’est en partie pour cela qu’il écrit près d’une nouvelle par jour. La dernière a d’ailleurs été publiée dans VSD, et un recueil intitulé l’arbre des possibles réunit ses vingt meilleurs textes.
Il nous a donc raconté comment lui était venu l’idée de ce nouveau roman plus court que les autres et cette fois-ci non engagé dans une trilogie. Il le voulait plus rapide, une lecture rythmée même s’il admet lui-même qu’il aurait pu en faire trois pavés de 800 pages.
Au départ une nouvelle d’une page avec l’idée de recommencer une humanité ailleurs. Oui mais comment fuir ? Puis il a travaillé durant un mois et sa nouvelle s’est développée. Il a ensuite profité des trois mois de tournage de son film Nos amis les terriens pour achever son roman.
Certains sont surpris par ce court délai, mais il argumente : « Dix-sept ans que je fais ce métier, écrire c’est devenu quelque chose de simple, si on a l’idée, le but alors on peut aller vite pour bâtir la trame et le déroulé. »
On lui demande alors si ce livre est bâti sur les grands mythes comme par exemple « l’arche de Noé ». Il répond en toute simplicité que oui exactement, il est très inspiré par la mythologie ou les grandes histoires de ce type.
Il nous explique ensuite le début de l’histoire : l’humanité va mal, décès, maladies, violence, la planète ne va pas s’en sortir d’où cette idée de fuir, de trouver un ailleurs, une autre planète pour tout recommencer. Mais pour partir il faut avant tout construire un vaisseau, un gigantesque papillon de 32 kilomètres de long qui pourrait abriter beaucoup d’humains.
Bernard Werber ajoute que ce vaisseau pourrait tout à fait être réel, il l’a conçu en se basant sur des études de la vitesse de la lumière. Ici encore il met à profit sa propre expérience et pourtant utilise un langage accessible qui nous fait dire : « J’aurais aimé l’avoir comme prof de sciences ! Avec lui tout est plus clair ! »
Pour résumer, Le papillon des étoiles c’est le développement d’une utopie, penser que l’on peut recommencer en étant meilleurs. Mais je ne vous raconte pas la fin…
On en profite pour lui demander si lorsqu’il écrit il sait déjà où il va. Pour lui c’est impératif d’avoir le but avant d’écrire le livre. Il nous propose alors une charmante métaphore d’une colline et d’un petit poney…
Vous êtes en haut de la colline et vous êtes sur votre poney, les jambes tracent un sillon dans l’herbe et vous galopez à perdre haleine en faisant des zigzags. Bien sûr au bout d’un moment vous arriverez en bas, mais pourquoi ? Pour lui, il faut descendre de la colline en se fixant, par exemple, le but d’atteindre le sommet de la colline d’en face. Ensuite si parfois vous déviez un peu, peu importe l’essentiel est que vous sachiez où vous aller.
C’est ainsi qu’il travaille, il est évident que parfois il modifie un peu la fin en cours de route, mais c’est toujours la fin qui lui permet de commencer…
On lui parle alors de la science puisqu’elle est omniprésente dans ses romans, alors la science sauvera-t-elle l’humanité ?
« La science ne sauvera ou ne détruira pas l’humanité, c’est la main de l’homme qui s’en sert qui peut faire basculer cela. »
Petite confidence, pour ceux qui ont suivi le cycle Nous les dieux, il achève le dernier tome qui sortira en 2007 et bouclera ainsi ce cycle.
Un blogueur lui demande s’il souffre de l’écriture comme ces écrivains qui sont si mal devant leurs écrits, qui ressent la douleur de leurs personnages. Pour Bernard Werber c’est tout le contraire, pour lui écrire est avant tout un plaisir, c’est même jubilatoire.
On termine en lui demandant ce qu’il lit en ce moment, il nous réplique que comme il écrit beaucoup il a de moins en moins le temps de lire, mais il nous livre quand même quelques conseils de lecture comme Pourquoi j’ai mangé mon père de Roy Lewis ou encore Conversation avec Dieu par Neale Donald Walsch.
Il nous amuse parce qu’il profite de ce moment pour nous expliquer qu’il est en pleine lecture du Fléau de Stephen King et qu’il a du mal, il veut savoir s’il sera récompensé au final par ses efforts de lecture.
Au final, il nous offre un exemplaire unique, celui qui est en général remis aux journalistes, donc une version non définitive avec encore des coquilles… Un précieux document qu’il accepte de dédicacer à l’ensemble des blogueurs avec le sourire, de petits mots pour les uns et les autres ! Un écrivain abordable qui n’a pas la grosse tête et qui finalement ressemble à une simple fourmi, comme nous le sommes tous…

Retrouvez les photos de la rencontre sur le site du journal de la petite édition

Parce que je t'aime

Tel est le titre du dernier roman de Guillaume Musso...

Bon je suis adepte des romans de Guillaume et de Marc Levy aussi...

C'est le même genre d'écriture, les émotions montent facilement et j'ai l'impression d'être devant une belle comédie sentimentale donc... Quand je me suis retrouvée face au dernier roman de Guillaume, oui je l'appelle Guillaume parce que même s'il ne le sait pas encore on a beaucoup de points en commun:) et puis aussi simplement parce qu'il s'appelle Guillaume!;) bref j'ai donc dépensé ma cagnotte pour lire la nouveauté en question.

Déjà le titre est trés tendance romanciers de ces dernières années et moi j'aime bien ce genre! Je ne suis pas difficile!:)

Ensuite le pitch m'attire donc zioup dans le caddie (et oui j'achéte mes livres en grande surface!!!! Ouhhhhhhhhh le honte!!)

Donc pour vous donner envie: l'histoire c'est celle d'un couple amoureux à qui la vie sourit, ils ont une petite fille adorable mais... Elle disparaît à l'âge de 5 ans alors qu'elle était en plein centre commercial avec une jeune fille au pair... Cinq ans aprés elle réapparaît au même endroit jour pour jour!!

Quel suspense!! Bon et bien j'ai donc lu les quelques 400 pages d'une traite parce que je voulais savoir la fin et que c'est agréable à lire.

Mon avis: Belle écriture, intrigue bien menée mais... une fin beaucoup trop prévisible donc je suis resté un peu triste de ne pas avoir eu droit à un sursaut de surprise!! Non Guillaume sur ce coup là je ne me suis pas laissé avoir... Mais j'admets que cela reste un bon roman, je suis contente de l'avoir lu mais je me demande si j'aurais du dépenser presque 20 euros pour une fin dont je me suis doutée presque dès le début?

Aprés le beau temps, l'orage revient!!

Et oui on aurait presque pu croire que Cruella s'était résignée à laisser tranquille mon ami puisqu'elle lui a acordé 3 semaines de congés (et oui il doit solder comme tout à chacun ses CP et Rtt avant le 31 mai)!!!

Bon elle a refusé qu'il rattrape ses WE et heures tardives mais au moins il était libre pour 3 semaines!!

3 semaines à dorloter sa petite famille, à s'émerveiller des sourires neufs de son bébé... Bref enfin un peu de répit et moins de xanax!!

Mais... Et oui il y a toujours un mais...

Une semaine et deux jours aprés avoir débuté ses congés et déjà deux coups de fil du boulot pour des demandes d'infos diverses, un événement a fait rechuter mon ami dans le stress et en quelques secondes la semaine de calme qu'il venait de passer s'est envolée au profit d'une montée d'angoisse dû à un coup de téléphone...

Le message était clair... Il fallait qu'il revienne, Cruella n'avait pas compris qu'il s'agissait de 3 semaines de congés (pourtant c'est elle qui signe les congés!!) et ça ne l'arrange pas et la personne qu'elle a pris pour le remplacer ne s'en sort pas donc elle le somme de revenir le lundi suivant et d'écourter une nouvelle fois ses congés. Elle ne lui demande même pas de rappeler pour confirmer, pour elle c'est acquis il sera là lundi.

Coup de panique, que faire?? Sa femme est aussi enervée que lui, la colére commence vraiment à lui monter au nez!

Mon ami a d'abord appelé une de ses collégues pour prendre la tension... Elle a été radicale: "ça fait 3 jours qu'elle parle de tes congés en disant que tu en as trop pris et qu'elle te raterait pas! Qu'elle t'attend au tournant..."

L'angoisse de mon ami se transforme alors en tremblements! Il le savait déjà qu'elle faisait tout pour le pourrir mais là parler de lui devant les autres en son absence avec autant de mépris...

Dépité il se décide à rappeler mais sa compagne lui rappelle qu'ils doivent partir présenter leur bébé dans la famille la semaine prochaine puisqu'ils n'avaient pas encore pu le faire... Puisque Cruella avait déjà stoppé le congé pater pris par mon ami.

Il ose donc défier Cruella en restant calme... Elle lui dit:

-Mais tu ne m'avais pas dis que c'était 3 semaines!!

-Mais enfin si je te l'ai dis, et la personne qui me remplace le sait aussi, et tu as signé toi même ma feuille!

-Oui mais tu en te rends pas compte, c'est un projet important...

-Oui mais j'ai besoin de ce repos et de toute façon je pars jeudi dans le Sud de la France donc je ne pourrais pas revenir.

-Bon et bien dans ce cas... Sous-entendu "on va faire avec mais tu ne nous arranges pas et je t'aurais à ton retour avec des horaires dont tu vas te souvenir!"

Alors voilà mon ami ne veut plus qu'elle sache la pression qu'elle exerce sur lui et ne veut plus abimer son couple et sa vie de famille pour le travail. lorsqu'il y est il est impliqué à 2000% mais lorsqu'il est chez lui il ne veut plus se laisser envahir! Il sait qu'il va le payer cher et il s'attend à un retour difficile. Il sait qu'elle va tout faire pour le virer mais s'il était revenu et avait stoppé ses congés il sait aussi qu'il aurait perdu aussi ce repos mérité puisqu'elle refuse ensuite qu'il rattrape son du...

L'histoire n'est donc pas terminée...