Cette année encore beaucoup de manifestations littéraires en vue. Des rencontres, des villes différentes à chaque fois et toujours ce plaisir de présenter des livres aux côtés d’auteurs adorables et talentueux.
Dans l'ordre chronologiques les 4 prochains salons à visiter et auxquels je participe ainsi que ma maison d'édition.
-Parthenay pour la dixième édition de l’Arbre au livre, le thème de 2010 étant « le livre en liberté ».
Ce salon a lieu les 5, 6 et 7 février et se tiendra au palais des Congrès, Place du Drapeau, 79200 Parthenay.
-Puis le week-end suivant c’est à Provins que vous pourrez à nouveau rencontrer de nombreux auteurs et éditeurs. Ce salon est animé par mon ami François Alquier et organisé par David Sottiez sous la présidence de Simone Veil.
Il se tient les samedi 13 et dimanche 14 février au Centre culturel Saint-Ayoul. 10, rue du Général Delort, Provins.
-En avril deux salons à ne pas rater, tout d’abord celui organisé par l’association Les mots migrateurs dont mon amie écrivain : Marie-Laure Bigand est la secrétaire. Il s’agit du tout premier salon de Cergy Pontoise qui se tiendra les 8/9 et 10 avril qui se tiendra au Centre Commercial des Trois Fontaines à Cergy-Pontoise.
Et puis encore d’autres à venir et des séances de dédicaces, oui cette année encore les week-ends seront consacrés à la littérature et c’est un plaisir !
Une lecture pour rêver… Pour profiter mieux de la vie, pour cesser de laisser le temps filer et l’attraper de toutes nos forces.
Le chambrioleur c’est l’histoire d’une gamine de 10 ans… C’est l’histoire d’une famille qui ne sait pas aimer comme il faudrait. Plus qu'un roman c'est un conte cynique et triste... Triste parce que tout nous rappelle en effet combien la vie nous passe sous les yeux et combien les choses essentielles, comme le simple fait de lire une histoire à son enfant, sont souvent remises au lendemain... Mais dans cette tristesse il y a surtout l’espoir d’un renouveau, il y a la fuite pour mieux revenir, pour permettre aux adultes de réagir.
On est sans cesse entre le vrai et le faux, l’imaginaire de la petite Jeanne est semblable au puits merveilleux d’Alice au pays des merveilles… Il y a des lueurs de sourires et des craintes, il y a de la joie et la mort qui rôde… Jeanne rêve, Jeanne vit dans un monde à part. Elle rencontre ainsi un drôle de personnage, elle va l’appeler Apollinaire, ou Paulin plutôt… parce que c’est plus léger à porter. Paulin est un ange gardien si réel… Pourtant d’où vient-il ? Qu’est-ce que Jeanne attend de lui ? Une rencontre hors du commun, une complicité salvatrice.
Un ouvrage dans lequel se mêlent l’indifférence, l’amour et le rêve… Un livre que l’on referme avec une boule dans l’estomac et une envie d’aimer mieux, de cesser de voir pour mieux regarder…
Damien Luce est aussi musicien et nous offre là un merveilleux voyage de cœur.
À découvrir dès le 7 janvier 2010 dans toutes les bonnes librairies !
Elevée par des parents oublieux, moquée par ses camarades, Jeanne s'invente un quotidien à sa mesure, où les murs sont des écrans de cinéma, où la réalité et la fiction empiètent l'une sur l'autre. Elle est une enfant ordinaire, qui se fabrique un monde extraordinaire. Dans cet univers fantastique va surgir Paulin, cambrioleur néophyte, jeune clochard dynamique. Il entre chez elle comme dans un château de conte. Une amitié clandestine se tisse entre eux et, petit à petit, Paulin investit tous les jardins secrets de la fillette. Mais qui est ce visiteur nocturne ? D'où vient-il ? Est-il de chair ou de songe ?
Mais qui est donc la gentille sorcière qui a jeté son sort malfaisant ? Une dose de poudre d’étoiles, une dose de douceur et quelques miettes de gâteau aux mille parfums.
Flèche en plein cœur nous laisse de fade humeur… Cœur qui cogne à l’envers.
Rêverie lancinante et désir de souffrir encore…
Mais quel joli sortilège que celui de l’amour. Pourquoi vouloir en guérir un jour ?
Un regard échangé pour deviner l’évidence.
Enfermer au plus profond de son être le secret d’un frisson pour savourer ces sensations magiques... Pour garder à tout jamais l’éternité d’un secret.
Un coup de baguette magique pour faire naître un sourire énigmatique, pour aimer le fantasme de l’amour.
Le destin guide nos pas vers bien des trajectoires, mais quelques obstacles nous abîment parfois et nous font basculer vers une impasse.
Mais où est donc l’horrible fée qui saura nous aider à nous relever ?
Symptôme affligeant et fièvre venimeuse. Poison d’amour pour effacer le sourire. Rien n’est simple lorsque le sortilège s’accroche.
Mais qu’il est bon de se laisser piquer par l’imaginaire d’aimer. Qu’il est tendre de ressentir la passion secrète d’un cœur magicien. Un jeu bien étrange que celui des amoureux, une alchimie parfaite dès la première fois qu’ils se sont frôlés.
Mai où est donc l’enchanteur moqueur qui saura faire taire ces cœurs malades d’un sortilège hasardeux ?
Histoires de peau veloutée, de battements de cils, de pièges et de bonheurs échappés, de mains qui se touchent… Mais quelle étrange idée de vouloir guérir de tout ceci…
Première Diffusion : 25 DÉCEMBRE à MINUIT sur ARTE. Durée: 10 minutes. Un film de Franck Guérin. Ecrit par Jérôme Attal et Franck Guérin. Image de Mathieu Pansard. Montage de Cyril Leuthy. Musique de Constance Amiot. Avec Annabel Rohmer, Jérôme Attal, Florine Delobel, Cindy Gaillot, Agnes Bouille, Aleksandra Yermak, Morgane Cabot. Produit par Yann Piquer pour Gulliver Productions / ARTE France.
La vie nous réserve souvent de belles surprises. Une rencontre, un texte et un coup de foudre pour un auteur… C’est ainsi que Martine Pagès est justement devenue auteur aux éditions Volpilière. Photographe et surtout passionnée par l’écriture, lauréate de plusieurs concours de nouvelles dont celui de Patrick Poivre d’Arvor en 2007 elle participe au premier concours des éditions Volpilière en 2008.
Et elle est tout de suite remarquée pour son style inimitable et sa façon de conter les jolies choses de la vie… mais aussi les plus dures. Sa nouvelle est donc publiée en septembre 2008 au sein du recueil « Un parfum d’enfance » avec 6 autres auteurs.
Depuis le lien est noué et enfin son premier roman se prépare à pointer le bout de son nez en janvier 2010.
« Ceanothes et Potentilles » raconte l’histoire d’une jeune femme prénommée Blanche. Ni belle ni laide, juste ronde comme il faut pour accueillir la tendresse. Heureuse ? Vaste question. Elle traîne sa vie comme son ennui, elle manque d’un amour inconditionnel, celui avec le grand A.
Passionnée par les fleurs, jour après jour, elle se heurte à l’indifférence. Rangée numéro 7, c’est son refuge au magasin « Pep ». Si vous cherchez, vous la trouverez certainement entre les roses, les ceanothes et les potentilles…
Mais… personne ne la regarde, serait-elle invisible ?
Il faut savoir provoquer le destin ! Blanche ne va plus attendre que le prince arrive sur son fier destrier, elle va passer à l’attaque. On ne peut compter que sur soi-même après tout !
Stratégie machiavélique, plans extrêmes…mais jusqu’où peut nous mener la solitude ? La folie n'est parfois qu'à un seul palier de la tragédie.
Sur un fond d’humour noir et d’effluves de rêves, Martine Pagès nous entraîne ainsi dans un tourbillon hors du commun où la passion rime avec déraison, où le cynisme de la vie se révèle avec triomphe.
Un roman savoureux qui vous fera trembler d’effroi tout en vous laissant un étrange sourire au coin des lèvres… Vous ne l’aviez pas vue arriver, cette destinée…
Aimez-vous la nouveauté, les technologies qui sont à la fois futiles et utiles. Les petites choses dont on ne peut plus se passer après y avoir gouté ?
Personnellement j’adore les livres, le papier, mes vieux crayons de bois (si on peut aussi dire crayon de bois !) mal taillés et… mon Iphone !
Le luxe d’être une femme (même en format mini) c’est qu’on peut passer du coq à l’âne sans en perdre une miette, essayez donc messieurs… J
Depuis un an que je l’ai je ne peux plus m’en passer. Que ce soit à la sortie de l’école en attendant les enfants (et en évitant les parents d’élèves bavards), lors d’une soirée ennuyeuse… ou pas… Lorsque je chek mes mails, que je réponds sur facebook à peine un œil ouvert ou bien encore lorsque que ma fille de 2 ans m’arrache mon téléphone pour danser sur daft Punk, que je fais éclater des bulles pendant le JT tandis que mon fils veut faire une partie de poker... Lorsque d’un coup de fil je reprends la main ou bien lorsque je reçois un mms d’un de mes auteurs… Il est toujours là avec moi, en plus tellement je l’aime je lui ai acheté un étui violet pour aller avec mon sac à mains (oui là OK je fais vraiment Gossip Girl…)
Le soir je pose le précieux objet sur un socle pour écouter de la musique… Je contemple les photos de mes dernières vacances avec mon namoureu, parfois je note le numéro de ma place de parking en le shootant, je joue même à Star Wars avec une amie…
L’Iphone c’est devenu mon pote du quotidien… L’impression que sans lui je loupe forcément un truc.
Oui je sais je suis grave… Non mon chéri mon Iphone n’est pas plus important que toi, c’est pas pareil, tu peux pas comprendre toi avec ton vieux Samsung d’abord ! Bref avouons que nous sommes nombreux dans ce cas et il manquait quelque chose pour assouvir notre passion… Un truc avec les meilleures applis, les confidences, les tests… Un magazine dédié !
Et… heureusement une jeune équipe a eu l’idée folle de se lancer ! CityPhone est en kiosque depuis le 25 novembre !
Quelques journalistes talentueux tentent ainsi l’aventure de la création de cette revue. Ils sont courageux, enthousiastes et je ne vois pas comment cela ne pourrait pas fonctionner.
Vous doutez encore ? Mais allez donc acheter le premier numéro de cette revue, ne soyez pas le dernier au courant.
Bon je vous laisse je vais cheker ma liste de choses à faire :
Publier une note sur CityPhone : ça c’est fait ! J
Enfin elle a osé ! Enfin après nous avoir déjà régalés de facéties romanesques on a droit aux réalités humoristiques dessinées d’Agnès Abécassis.
Pour celles et ceux qui ont, comme moi, dévoré ces romans vous retrouverez à coup sûr les ingrédients qui rendent cet auteur attrayante (mince alors comment j’accorde un auteur avec attrayant vu qu’elle est du sexe féminin ?...) bref… mais en plus le cadeau bonux !!
Et oui là c’est deux lectures pour le prix d’une car on a le droit aux illustrations remplies de tendresse, de justesse et de gaieté dont elle a le secret.
Pour rappel Agnès A. a d’abord débuté comme illustratrice (et rédactrice) dans un magazine santé il me semble (bon je vous rappelle tout de suite que je ne suis pas journaliste d’investigation donc à part le fait que de source sûre je peux garantir qu’elle est née le même jour que ma fille… et presque la même année… J, je ne peux pas non plus pousser trop loin mon enquête de peur de représailles !)
Elle était bien longue cette parenthèse tiens.
Quoiqu’il en soit en ce moment il fait froid, les gens font la gueule, y en a même qui sont pénibles alors pour garder le teint frais et les pommettes saillantes un seul exercice de circonstance : Lire le tout premier carnet d’Agnès A. aux éditions Hugo BD. Et puis, messieurs, sincèrement dans le genre cadeau de noël sympa pour vos damoiselles c’est juste pile poil idéal !
Les filles pourront rire d’elles-mêmes et de leurs nombreux faux complexes, sourire des relations avec leurs copines et éclater de rire lorsqu’elles verront à quoi ressemble l’homme idéal en fonction du temps de célibat…
Un sans faute pour moi et j’attends le second volume avec impatience !
Oups... désolée c'est juste que je ne trouve plus assez de temps pour tout... De là à fermer cet espace il m'en faudrait plus. Alors oui les notes sont postées en dilettante que je suis, mais le coeur y est !;)
Allez pour me faire pardonner une de mes chansons préférés :
Une fois n'est pas coutume j'ai repris une note existante sur un autre blog. Simplement parce que je la trouve très compléte et que je ne me voyais pas dire autre chose...
Donc vous pouvez lire ici une note de mon ami Mandor ou bien vous rendre directement sur son BLOG.
Ni une, ni deux, lundi soir, je file chez Bob Garcia à Chelles.
Je déboule chez l’auteur, à 19h. Bizarre la sensation d’arriver au château de Moulinsart (version minimale, certes, mais quand même).
L’homme est accueillant. Il sait que je viens en ami. Je lui propose de me dire ce qu’il a sur le cœur. Je n'ai entendu aucun podcast explicatif sur cette histoire qui secoue le monde des tintinophiles.
On s’installe dans son bureau et je branche le magnéto (Serge !).
Première partie : la genèse de l'affaire.
Les albums incriminés:
Deuxième partie : Que reproche-t-on à Bob Garcia? Les complexités de l'affaire et du jugement. David contre Goliath.
Lundi, chez lui... un peu dépité.
Troisième partie : Dans quel état est-il face à ce rouleau compresseur? Son blog. Qu'espère-t-il précisement en alertant les médias?
Avant l'interview, il envoie encore un mail à son avocat (véridique!).
Quatrième partie : Va-t-il encore écrire sur Tintin? Comment va-t-il réagir?
Après l'interview... la contrebasse a souhaité poser avec nous (ce que je trouve parfaitement ridicule, soit dit en passant. Non seulement, je ne suis pas venu pour rigoler, de plus, vous le savez bien, je ne suis pas très photos photos...).
Voici à présent, un des meilleurs articles sur le sujet.
Celui de Charlie Hebdo.
Deux documents pour vous faire votre propre opinion:
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