Elisabeth Robert: Te Souviens-Tu de Nous ?
La maison d'édition Pietra Liuzzo n'existe plus.
Collectif: Les Bouquets de Tulipes
La maison d'édition Pietra Liuzzo n'existe plus.
Elisabeth Robert: Au-delà des regards
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Génial!
Bravo, Elisabeth, pour tout ! Je vais parler sur mon blog de ta maison et de la dernière semaine du concours ce week-end, je vais essayer de t'envoyer deux/trois questions par mail d'ici là.
A très vite,
Rédigé par : ecaterina | 17 juin 2008 à 21:27
Tu ne vois peut-être pas, mais j'applaudis ! :-)
(PS: j'aurais besoin de te parler ;-))
Rédigé par : Jo Ann v. | 17 juin 2008 à 23:04
Yep ! Elisabeth met les bouchées doubles... Bravo à toi et continue comme ça, c'est un bon commencement.
Rédigé par : Jerome | 18 juin 2008 à 09:10
Bonne route.
Versailles,
Vers cette place immense mon cœur s’ouvrit et se prosterna.
Emballé par une atmosphère légère ; des âmes m’embrassent.
Règne en ton lieu une narration, quelque chose d’envoûtant,
Seigneur et badaud à la fois je me sens, protéger dans ton sein.
Amoureux je suis tombé du parc, d’un parfum qui m’enchante.
Insatiable est mon regard de ce palais, qui jadis abrita les rois.
L’âge qui nous sépare, ne peut nuire à mon amour si enlaçant.
Lumières et ténèbres par mille fois se sont emparées de tes régents,
Empire bien convoité, bien molesté par la dureté de tes amants.
Sache que j’emporte de ta grandeur, juste ton image bien volage.
Versailles,
Silhouettes invisibles d’un autre temps se promènent dans tes parcs.
Emerveillé on reste par un jeu de lumière, ricochant sur tes eaux.
Les anges doivent habiter dans tes œuvres ornées d’or et d’argent !
L’ultime soupir de ma vie se souviendra de cet endroit là, magique.
Inoubliable tu resteras, figé, emprisonné dans cette frêle mémoire.
Appelle-moi un jour, pour que je revienne voir là, ta douce demeure.
Seigneuries et grandes dames se sont sentis bercer durant des lustres.
Renaissance d’une époque passée, là tu me transportes avec émotion.
Edifices et statues s’offrent à mes yeux, mes mains effleurent le repos.
Versailles l’incomparable, visité par les Dieux, choyé par les humains.
Versailles,
Vestiges inestimables ornent tes façades, je me sens ému et tremblant.
Elles n’en finissent pas de m’émerveiller tes fontaines et ses occupants.
Règne sur ce bosquet verdoyant, comme une fraîcheur de l’ère d’avant.
Symphonie bouleversante fredonne en mes oreilles, je marche vers toi,
Avec cette envie de ne pas m’imposer, rester attentif, humble et discret.
Icône me semble par moment ton lieu, il m’inspire une telle béatitude !
L’endroit s’y prête, même si plus loin j’entendrais peut-être des pleurs.
Le temps s’acharne à poser sur toi cette chape qui nous pousse à faiblir,
En l’espace d’un moment si on n’y prend garde, on se laisserait mourir.
Soleil brûlant d’une époque révolue, Versailles tu as attendri mon cœur.
Le 23 mai 2004
Giuseppe
Rédigé par : salamone | 18 juin 2008 à 16:10
Petit à petit l'oiseau...
Ah si Versailles m'était conté...tiens voila que je me prends pour Guitry maintenant...
Bisous Elisa...
Rédigé par : Richtoo | 18 juin 2008 à 23:13
Excellent ! Bravo Babeth !
Rédigé par : Nath | 19 juin 2008 à 11:16
Oh ben zut alors à croire que les grands esprits se rencontrent ou que le fait d'avoir le même éditeur déteint sur les pensées de leurs auteurs!!Bref ayant initialement eu pour idée de marquer : bravo Babeth, petit à petit l'oiseau.., je me vois dans l'obligation, à la lecture du com de Richtoo, soit d'ajouter tout simplement : "fait son nid", soit de changer mon texte de façon à ne pas donner l'impression de copier un confrère!
Ne souhaitant pas prendre ce risque, mon nouveau commentaire sera :
Télé, journaux.. : Babeth est à l'honneur... L'oiseau qui craignait il y a quelques semaines à peine de quitter le sol a pris un bel envol et l'ampleur de son élan est tel qu'il n'est pas prêt de regagner le sol!
Félicitations ma grande!
Rédigé par : sandra | 19 juin 2008 à 15:49
Volpiliere ! Non, Voliplume, volière ... un petit aigle plane déjà haut, juste en dessous des étoiles
Rédigé par : Angela DT | 19 juin 2008 à 17:12