Une interviewe décalée de l'auteur, accrochez vous et lisez tout pour mieux le comprendre!;)
G@rp.... avec un arobase!:) est un écrivain que j'ai rencontré sur le Net…
Ah ! L’arobase… Un grand moment, l’arobase. On peut dire qu’il a fait crépiter les claviers, l’arobase. D’abord parce qu’il rend le nom imprononçable –– gatrp… garobaserp…gachezrp…j’en passe et des pires –– donc, on le retient. CQFD.
Ensuite, parce que ce @ a mis une sacrée panique dans la base de données de Dilicom au moment de la publication de « Kaléidoscope », longtemps enregistré comme ayant été écrit par « g rp » * rire *
Bien entendu, g@rp est un hommage au Monde selon Garp de John Irving, auquel s’ajoute une obsession des coquilles d’escargots, des labyrinthes, et des spirales. Et puis ce @, après tout, n’est-il pas le symbole de la communication, de l’échange ?
Pas de grimace, s’il te plait. Sindbadboy ne t’a pas prévenue que j’étais fou ?
Il est sociable et s'adapte aux comportements divers des forums littéraires.
Fulmi dirait que le pluriel de forum, c’est fora.
Ce à quoi j’ai déjà eu l’occasion de répondre que c’était parfaitement exact, mais que l’on disait aussi un « index », des « doigts ».
Tu veux que je sorte maintenant ou on va jusqu’au bout des questions ?
Toujours un mot gentil, encourageant il est surtout d'une extrême modestie puisqu'il ne parle quasiment jamais de ses publications!
Quasiment, en effet. À quoi bon ? Il y a des millions d’écrivains de tiroirs qui sont, informatique oblige, devenus des écrivains de disque dur, puis du Ouaib. Et la grande majorité déballe son tiroir en beuglant : « je suis là, je suis le meilleur, lisez-moi, vous ne le regretterez pas ! » Littéralement un vide grenier. Je n’ai pas eu envie de brailler avec la meute.
Fréquenter un forum littéraire, à mon sens, ne veut pas dire faire sa pub. Avant d’écrire, on lit. Et parler de ses lectures, échanger, voilà ce que je recherche avant tout.
Avertissement de l’interviewé : ne pas se méprendre. Dans tout forum littéraire existent des personnalités attachantes – j’ai les noms ! (d’ailleurs, j’en ai déjà lâché deux – désolé de vous avoir balancé, les gars…)
Aussi je lui ai demandé simplement de répondre à quelques questions afin de le connaître mieux et de le mettre à son tour en avant!:)
* oups * je crois que j’ai mis la charrue avant les bœufs, non ? On peut copier/coller, ici ?
Bon. Donc, amis lecteurs, merci de sélectionner les passages précédents, puis [ctrl] [x] et ensuite [ctrl] [v] ici même. Ça évitera de tout démantibuler l’interview de la Demoiselle. Merci pour elle.
-En farfouillant sur plusieurs sites j'ai découvert beaucoup de publications... A ce jour combien de livres as-tu écris? Combien d'éditeurs?
Réponse à la première question : aucun.
Réponse à la deuxième question : un seul.
Question suivante ?
[message personnel] : Sind, t’es pas sympa. T’aurais vraiment dû la prévenir que j’étais cinglé de la tête. [/message personnel]
-J'ai vu que tu avais collaboré à une traduction? Ou en tous les cas que ton nom était cité par un traducteur? Peux-tu nous en dire plus?
Avec plaisir.
-Quel est le livre que tu as préféré écrire?
Celui qui n’est pas encore commencé.
-Tu publies des nouvelles sur un site très étrange intitulé: http://www.darbraleph.org/
Peux-tu nous expliquer le concept? Je trouve ce site superbe et il me semble en même temps complètement fermé... Un peu comme une vieille malle dont il faut avoir la clé!
Des nouvelles, des photos. C’est d’ailleurs sur ce site que j’ai publié mes premiers textes, en 2003. Et grâce à lui que j’ai repris l’écriture après une longue période de…lecture.
Darbraleph est un labyrinthe à vocation ludique et artistique.
Un jeu. Sans règle précise. Les joueurs ont disposé, ça et là, des textes, des photos, des montages, sans autre but que de laisser le hasard créer des liens, du sens. Chaque visiteur dispose de sa propre clé. Untel trouvera des points communs entre un texte et une photo, ou un texte et un autre, Un autre tel n’en trouvera pas. Le sens dépendra de ce chacun cherche dans ce labyrinthe. Certains viseront la sortie, d’autres pas.
Darbraleph est d’aspect fermé, certes, mais il existe des portes. Sur quoi ouvrent-elles ? Surprise… Il n’est d’ailleurs pas impossible que le site se dé-plie… Un jour…
Mais puisqu’on en parle, je tiens à rétablir ici la vérité historique : Darbraleph n’est pas mon site. Il est né sous l’impulsion de Vondebra, ou Vonderbra, qui l’a conçu de A à A avec un ami – salut les aléajoueurs ! – un joyeux internaute rencontré sur un certain forum…dont nous reparlerons tout à l’heure. Je n’ai fait qu’y participer, avec d’autres membres de ce même forum, au « demeurant » (laisse les guillemets, ils ont leur importance. Tu comprendras tout à l’heure, Elisabeth.)
-Un de tes livres semble être très reconnu, "Kaléidoscope", dont le pitch est:
Kaléidoscope : suite rapide de sensations vives et variées ; titre de ce premier recueil de nouvelles dans lequel les mots sont autant d’objets colorés et de miroirs que g@rp juxtapose, superpose, manipule méthodiquement, avec humour, pertinence et impertinence, émotion et poésie, jusqu’à dévoiler les dessins mobiles et aléatoires d’une réalité qui prend le lecteur à contre-pied. Vingt petites merveilles cinglantes, décalées, légères, nappées de tendresse, pleines d’une imagination débridée et galopante, distillées avec un plaisir communicatif.
Un pitch ?
Je ne vois pas trop ce que le goûter préféré des g@rpounets vient faire ici.
Mais bon, c’est toi qui m’as invité, donc tu as raison : ceci est un pitch.
-Il s'agit d'un recueil de nouvelles. Est-ce là que va ta préférence en terme d'écrits?
Ma préférence, à moi… Pardon. Un moment d’ég@rement.
Quelle était la question, déjà ?
En terme d’écrits ? Du court, sans hésitation. Les mauvaises langues diront que ça n’est pas surprenant, vu que je suis du Sud. Objection, votre honneur ! Penser que faire court c’est faire vite est une erreur. Au même titre que « plus c’est long plus c’est bon ». Le court est le format idéal pour aller à l’essentiel, tout en obligeant à triturer le non dit, à écrire entre les lignes. Chaque mot compte, chaque silence. Le court permet beaucoup de choses, de jeux différents : avec les mots, le son, le sens [liste non exhaustive]. Le court exige qu’on lui consacre du temps. Paradoxal, mais vrai.
Le lecteur qui penserait lire vite un texte court, se goure. Et leur nom est Légion, à ces lecteurs-là : c’est le deuxième effet Kiss Kool du Net.
Tout, tout de suite. Prémâché, prédigéré, sans aucun effort. Une lecture par mots-clés. Rien de surprenant que l’on évoque parfois l’émergence de romans, de nouvelles dites « copiées/collées », bricolées à partir d’articles publiés en ligne.
-Pourquoi as-tu choisi l'édition en ligne, la possibilité d'obtenir tes livres via pdf?
J’ai choisi sans choisir. Ça s’est imposé tout seul, c’était la suite logique de Darbraleph et du forum de « La Maison des feuilles » : un échange auteur/lecteur.
Un retour sur écrit dans les deux sens. Inlibroveritas.net offrait cette possibilité de recueillir l’avis des lecteurs, quels qu’ils soient, quelle que soit leur expérience en matière de lectures. Une sacrée ouverture.
Lorsqu’on écrit, c’est pour être lu. La famille, c’est bien, mais si l’on souhaite savoir ce que l’on vaut réellement, il faut d’autres yeux. Mais cela requiert aussi d’accepter de prendre des coups. De mettre son ego dans sa poche et son mouchoir par-dessus. De s’ouvrir aux autres. L’enfer c’est les autres ? Pas en ce qui me concerne, c’est grâce aux autres – et pour eux – que j’essaie de progresser.
Quant à la libre disposition de mes nouvelles via téléchargement pdf, c’était déjà le cas sur Darbraleph. Inlibroveritas.net permettait cela également, mais pas seulement. Toute personne qui le souhaite peut non seulement acheter tel ou tel ouvrage en version papier – un vrai livre – mais aussi réaliser sa propre compilation de textes : une nouvelle de Alain Tchungui, une de Sindbadboy, une de Romane, une de Démotier, un texte plus long de François Baure, un deFredleborgne, un de François Schnebelen, un Halloween Jack, un Landry Johan, un Denis Nerincx et pour faire couler, une douceur de Jost Vincent, Aliceslabyrinth, saupoudrée de RéGinelle, de Bernard Lancourt, Alexandre Legrand, et un Richard gehenot en digestif. [je ne peux malheureusement citer ici tous mes éminents collègues, même si ce n’est pas l’envie qui m’en manque – vous me comprenez, les copains ?] Façon mp3, oui, on peut le dire. À la différence qu’au lieu de graver, hop ! On commande un livre papier de toutes les œuvres que l’on a choisies. Pour qui aime le livre, c’est magique. Rien que des morceaux de bon à l’intérieur, puisque c’est vous, lecteur, qui les avez sélectionnés !
-C'est quoi ton expérience des maisons d'éditions, les lettres de refus?
Bien sûr. Comme tout le monde.
Mais pas une collection complète. Je n’ai jamais été un assiégeur d’éditeur. Une tentative par-ci, une par-là. Sans plus. Juste une prise de température, en somme. Ce qui pouvait se concevoir, étant donné que j’étais à la recherche d’avis sur mes histoires, pas de gloire. Tous ces coups d’épée dans l’eau datent d’avant la publication en ligne.
Le seul envoi qui a touché, c’est « 6h50 corniche Kennedy ». Une nouvelle écrite à l’occasion d’un concours réalisé par la gratuit 20minutes, en 2004. Sélectionnée puis publiée à raison d’un chapitre par jour, pendant une semaine.
Une anecdote à propos de 6h50 : voir son texte en dernière page d’un quotidien tiré à 80 000 exemplaires vous colle des ailes aux chevilles. Limite dancing in the street. Sauf que, le soir, vous trouvez une bonne vingtaine d’exemplaires de ce même journal dans la benne à ordures du coin, dos en l’air, avec devinez quel nom sous une boite de pois chiches ? * rire * Je te jure que c’est authentique. Et idéal pour soigner la grosse tête et les chevilles enflées.
En ce qui me concerne, ça m’a fait réaliser qu’être publié n’était pas une fin en soi. Ce qui devait compter, c’était être lu. Pas pour en vivre – il faut raisonner les gardons, comme disait l’autre… à quelques mots près.
So, Inlibroveritas.net
Publication en ligne, avis des lecteurs, et en mars 2006, publication du recueil Kaléidoscope.
En ligne également. Jusqu’à ce que le gérant du site me contacte pour m’offrir… L'édition à compte d’éditeur.
Repéré j’étais, qu’il a dit. Par ILV-experience.
Je n’en suis toujours pas revenu.
D’ailleurs, c’est bien pour ça que j’y reste.
Après Kaléidoscope, il y a eu le recueil « Une ère de liberté », dans lequel figure une de mes nouvelles, aux côtés de celles de mes potes Démotier, Agnès Andersen…Allez, cadeau bonus, voici le lien : http://www.ilv-experience.net/gauche-dauteurs/une-ere-de-liberte.html
Il y a eu aussi le concours pour la Gazette du Val d’Oise, avec Vitamine D qui a terminée parmi les finalistes, sans oublier « mon » premier roman. J’utilise les guillemets, car pour le mener à bien, nous nous y sommes mis à deux. Avec Démotier, un auteur Dunkerquois – le pauvre. Un pastiche (sinon rien) : « Graimet vieillit mal ». Neuf mois à martyriser le clavier et à s’envoyer des mails à travers la France, neuf mois de rigolade, de corrections, ajustements, lectures, relectures…pour un roman écrit à quatre mains comme un pied * rire * Si ça vous dit, c’est là : http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre6615.html
Oui, bon, bref : à ce jour 35 nouvelles et/ou recueils que vous pouvez lire à l’œil – expression on ne peut plus appropriée quand on admire l’interface de lecture du site.
Comment ? Ah oui, le lien. Où avais-je la tête… Et hop ! http://www.inlibroveritas.net/auteur848-oeuvres.html
-Quelle est ta méthode pour travailler? Et d'ailleurs quand écris-tu?
Travailler ? Mon Dieu ! Quelle horreur ! Le jour où écrire deviendra un travail, j’arrêterai net. En réalité, je m’amuse. Comme un fou. Je pars de trois fois rien : une image, un jeu de mots, un titre. Puis j’étire au maximum. Toujours de cinq à sept…du matin ! (comme quoi, une fois encore, même en étant du Sud, on peut se lever tôt. Et toc.) Papier et stylo – eh oui ! Je suis un vieux dinosaure * rire *
Une fois que le premier jet est terminé, je le triture dans tous les sens : traque des répétitions, des verbes être et avoir, déplacement de passages entiers, cure d’amaigrissement. Lorsque tout est proprement illisible, je passe au deuxième jet. Toujours papier et stylo. Ensuite, rebelote. Ce qui fait que ce pauvre deuxième jet se retrouve réduit, après bricolage, à pas grand-chose. La frappe ne vient que bien plus tard. Le soir.
Ce premier jet sur PC subit lui aussi une dérouillée entre le papier et l’écran : je le filtre, en somme. Après vient l’impression papier, pour une nouvelle relecture – il y en aura bien deux ou trois – au cours de laquelle je vais pister les sons, donc changer des passages entiers, pour qu’ils claquent et pètent. Ce n’est que lorsque je ne supporte plus l’histoire, de trop l’avoir vue/lue, que je la publie en ligne. C’est long ? Ce n’est pas faute d’avoir prévenu…
-Quelle est ta chanson préférée?
Plusieurs. Joséphine, par Chris Rea ; I feel good, par les Blues Brothers ; et plus récemment : En apesanteur, par Roger Calo…non…par Calogero. Mais j’en ai d’autres…
-Ton livre préféré?
Celui par lequel tout a commencé [tu vas avoir l’interview la plus chronoillogique qui soit : je n’ai pas répondu aux questions lorsqu’il y en avait, et j’ai répondu lorsqu’il n’y en avait pas – le tout dans un parfait désordre, un vrai labyrinthe.] «La Maison des feuilles », de Mark Z Danielewski.
Un livre dans lequel on n’entre pas simplement, qui oblige…à faire l’effort de lire – je n’en dirais pas davantage, sinon je vais te pondre un roman. Après l’avoir lu, j’ai senti qu’il y avait autre chose sous les mots, derrière les mots, et me suis tourné vers le net…pour me retrouver sur un forum – mon premier.
Celui de « House of leaves ». Là, pendant deux ans, avec d’autres « demeurés », ainsi que nous nous sommes baptisés [maison=demeure, les accros devenant, dans tous les sens du terme, des « demeurés ». Nous le fréquentons toujours, ceci dit.] nous avons décortiqué le roman dans tous les sens, parcouru La Maison pièce par pièce : un régal.
C’était également la première fois qu’il m’était possible de dialoguer avec un auteur, en l’occurrence celui de la version française, le traducteur, Claro.
Au moment où la parution d’une annexe de La Maison était sur les rails, « Les lettres de Pelafina », il s’est tourné vers les membres du forum afin de lui signaler les coquilles que nous aurions pu relever.
Comme des dingues, nous avons alors entrepris un travail de relecture, chacun postant dans un fil dédié le résultat de ses investigations. Heu…il parait que je me suis distingué en relisant le livre…à l’envers. C’était le seul moyen que j’avais trouvé pour me détacher de l’histoire, et lire uniquement les mots, afin de mieux déceler…les coquilles [quelque chose me dit que tu commences à entrevoir la réponse à ta prochaine question…]
Lorsque « Les lettres de Pelafina » sont sorties, chez Denoël, Claro y avait ajouté les « remerciements du traducteur », dans lesquels figuraient nos noms.
Ce bouquin est en quelque sorte un collector, d’ailleurs, puisque g@rp, à l’époque, n’avait pas encore gagné son @ * rire *
Voilà qui répond à ta troisième question, en début d’interview [tout le monde a suivi ?]
-Dis-moi... C'est quoi cette histoire d'escargot?;)
Quand tu fouilles, tu ne fais pas les choses à moitié, toi.
Cette histoire d’escargot date également de l’époque du forum de « La Maison des feuilles ». Escargot est un clin d’œil de la part des « demeurés ». Ils ont un jour demandé au Master du forum, l’autorisation de m’accorder ce statut particulier. La légende raconte que l’autorisation est venue de l’auteur de « House of leaves » lui-même : Mark Z Danielewski. Ce qui me fait penser, puisqu’on en parle, que « La Maison des feuilles », jusqu’à ce jour épuisée, ressort en librairie le 23 août prochain.
Ne la manquez pas, et venez ensuite nous rendre une petite visite, sur le forum de la VF: http://www.houseofleaves.com/forum/forumdisplay.php?f=10
Accueil chaleureux et délirant garanti !
Si vous préférez lire le dernier Danielewski, « Only Revolutions », sa sortie, toujours dans une traduction de Claro, est également prévue pour le 23 août, sous le titre «O Révolutions».
Là aussi existe un forum. Le meilleur moyen d’y accéder est de passer par la superbe page d’accueil :
http://www.onlyrevolutions.com/
Pendant que vous y êtes, écoutez la bande son jusqu’au bout, vous y entendrez la voix de l’escargot…
-Et au fait G@rp... C'est quoi ton vrai nom?:)
g@rp m’a permis de sortir de « l’obscurité anonyme d’un nom », donc je l’ai adopté. À moins que ce ne soit l’inverse…
-Dernière question symbolique: Et sinon tu es un homme heureux dans la vie? Il te reste des rêves à accomplir?
Je serai malheureux le jour où je n’aurai plus de rêves à accomplir.
Bravo !
bien plus efficace que le massage des pieds !!!!!
:-)
Rédigé par : Yfig | 13 août 2007 à 14:38
merci mille fois à Elisabeth d'avoir accepter qu'un escargot mette sens dessus dessous son magnifique blog.
avant d'oublier : Yfig a raison :)
Encore merci, Demoiselle.
Bises de l'escargot ;-)
Rédigé par : g@rp | 13 août 2007 à 20:57
flute!sous le coup de l emotion, j ai fait une superbe faute dans mon commentaire. Oh la honte !
Rédigé par : g@rp | 13 août 2007 à 21:01
Ah oui c'est SANS dessus dessous la faute, je me trompe ?
Biz grande soeur et à très bientot^^
Rédigé par : Axelle | 13 août 2007 à 21:07
@Yfig: hum je ne sais pas?:)
@Garp: mais ce fut un immmmmmmmmeeeeeeeeeensse plaisir!:)
@Axelle: je pense que le mot SENS prend tout son sens dans ce cas précis!;)
Rédigé par : Elisabeth Robert | 13 août 2007 à 21:24
C'est toujours un plaisir de lire G@rp même si comme l'escargot il a tendance à se replier dans sa coquille.
Merci à vous de l'avoir interviewé et mis en avant sur ce site. Il le mérite bien.
Rédigé par : fredleborgne | 14 août 2007 à 21:02
Tout plaisir que celui d'une rencontre nouvelle avec l'ami G@rp. Un grand coeur et plein d'idées, de l'humour à revendre mais ô combien de tendresse.
J't'aime, mon Ghost.
Merci pour cet interview.
Amicalement.
Rédigé par : Romane | 14 août 2007 à 21:29
Bravo pour ce beau reportage... un g@arpounet à suivre de près...
(¯`•._.•¯) ¨ ° '•.¸ ‹(•¿•)› ¸.• ° ¨(¯•._.•¯)
Rédigé par : richard gehenot | 14 août 2007 à 21:35
L'escargot qui parle plus vite que l'ombre de la tortue et qui n'a pour seul tord que de nous mener en barque vers une corniche en visant sans arrêt l'axe du coeur.
Rédigé par : JOST | 15 août 2007 à 13:45
comme s'il était là, remonté de Marseille, dans le fauteuil à côté, à se raconter.
bravo pour l'interview d'un homme en OR.
youssef vonderbros
Rédigé par : vonderbros | 17 août 2007 à 18:51
T'es pas fou d'écrire des choses pareilles, G@rpo ? Que tu lis des livres, que Fulmi est attachant ? Que tu relis et corrige tes textes ? Que l'important n'est pas d'être publié ? Qui peut croire ça ? T'es fou, quoi !
Rédigé par : Fulmi | 03 septembre 2007 à 20:45
C'est vrai ça on pourrait presque le croire que le Fulmi est attachant!;)
Rédigé par : Elisabeth Robert | 03 septembre 2007 à 21:12
Fulmi confirme ce que je n'ai cessé de clamer depuis que Sind me l'a appris : je suis cinglé de la tête.
Et pendant que je suis là, je tenais à signaler que le Youssef Vonderbros qui a posté un commentaire est trop modeste. Il écrit, lui aussi. Et bien, même.
Si vous voulez le lire, sachez qu'un de ses textes est disponible sous mon nom (vous comprendrez en voyant le titre) ici :
http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre7169.html
Une fois encore, rendons à Vonderbros ce qui appartient à Vonderbra :-)
Rédigé par : g@rp | 05 septembre 2007 à 20:34
Quelle belle mentalité =) J'aime beaucoup ^^
Contente d'avoir pu en apprendre plus sur cet "escargot-fantôme" ...
Rédigé par : Odalisque | 09 septembre 2007 à 17:22