Lorsque certains jours le moral descend bien au dessous des chaussettes, lorsque je me sens seule au milieu de tous... Je me mets à écrire... mais parfois mon monde imaginaire ne suffit pas à me sauver et je sors alors mon CD compil de Simon and Garfunkel et en écoutant leurs chansons je me retrouve plongée dans une autre époque!
Je ne suis pas assez âgée pour avoir réellement connue ce groupe à leur âge d'or, mais peu importe c'est comme s'ils chantaient juste pour moi...
Je mets certainement le son un peu trop fort pour mes voisins mais comment voyager si l'on entend encore le reste du monde?
Chaque note me transporte vers un nuage plein de mélancolie... Cette musique me berce sur mes douleurs, mes souvenirs d'une vie si courte mais déjà tellement abimée par le manque de proches disparus trop tôt ou de saveurs amères qui ont tuées une partie de mon enfance...
Mais alors est-ce un moyen de guérir que de replonger dans tant de souffrances...?
Je ne sais pas, mais ce que je sais c'est que cela m'aide ensuite à essuyer mes larmes, elles ne restent pas accrochées sur mes joues, elles s'écoulent et me permettent de libérer un trop plein de tristesse... La nostalgie a du bon elle nous rappelle que nous sommes encore en vie...
The sound of silence...
Hello, darkness my old friend
I've come to talk with you again
Because a vision softly creeping
Left its seeds while I was sleeping
And the vision that was planted in my brain
Still remains
Within the sound of silence.
In restless dreams i walked alone
Narrow streets of cobblestone,
'Neath the halo of a street lamp
I turned my collar to the cold and damp
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light
That split the night
And touched the sound of silence.
And in the naked light I saw
Ten thousand people, maybe more
People talking without speaking
People hearing without listening
People writing songs that voices never share
And no one dared
Disturb the sound of silence.
"Fools," said I, "You do not know
Silence like a cancer grows.
Hear my words that I might teach you,
Take my arms that I might reach you."
But my words like silent raindrops fell,
And echoed
In the wells of silence
And the people bowed and prayed
To the neon god they made
And the sign flashed out a warning,
In the words that it was forming.
And the signs said the words of the prophets
Are written on the subway walls
And tenement halls.
And whisper'd in the sounds of silence.
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