Le blog d'Elisabeth Robert

Comment avoir plus de traffic sur son bloG?

Bah déjà rien qu'en mettant cette phrase dans le titre j'en ai attrapé plus d'un!;)

Bon rien à voir je voulais juste vous présenter un objet que JE VEUX!

Oui oui, "je veux, je veux, je veux!!" Imaginez Laura Ingalls les tresses au vent et la mine boudeuse en tapant du pied et vous me verrez!:)

Evidemment on m'a déjà appris quand j'étais plus petite qu'aujourd'hui...:) que c'est pas parce que l'on veut quelque chose qu'on l'aura... bououhouou...:(

Oui mais quand même: je veux, je veux, je veux!:)

Ce "bureau portable" a l'allure simple vous permet de travailler où vous le souhaitez.
En effet grâce à sa table vous pourrez y déposer votre ordinateur portable tandis que son espace de rangement vous permettra d'y glisser vos livres/journaux.

Une bonne idée qui plaira aux plus nomades d'entre nous !
Prix : 99$

Comment se faire éditer?

Un livre tout beau qui donne des conseils aux jeunes auteurs...

On y retrouve des grands noms de l'édition qui expliquent les méthodes de persuasion efficaces...

Je trouve les notes honnêtes et réalistes! Tout le monde devrait s'offrir ce livre (bon juste il est un peu cher: presque 22 euros... Humm et bien voilà une bonne idée de cadeau, non?:)

Guy Birenbaum, directeur des éditions Privé.

« Le premier conseil que je donnerais à un jeune auteur est : “Insistez !” Après avoir envoyé par La Poste – ou déposé directement dans la boîte aux lettres des éditions – votre manuscrit, faites en sorte d’obtenir un rendez-vous avec l’éditeur. C’est très important de venir voir la maison, de s’imprégner de son atmosphère et de connaître les gens qui y travaillent. Deuxième conseil : “N’envoyez pas votre manuscrit au petit bonheur la chance !” Renseignez-vous sur les livres publiés, les différentes ­collections existantes, etc. Troisième conseil : “Écoutez”. Ce n’est pas parce qu’on est éditeur qu’on a forcément tort. Il est inutile de harceler quelqu’un qui vous a dit non, cela ne sert à rien. C’est contre-productif ! Et enfin ce qui me semble le plus ­important à dire c’est : “Continuez”. Je suis persuadé qu’il y a des talents considérables qui ne sont pas publiés et je le regrette... Donc surtout ne laissez jamais tomber ! »

Anne Carrière, directrice des éditions Anne Carrière.

« Le premier conseil que j’aimerais donner aux jeunes auteurs est : arrêtez de confier vos misères à la plume. Les trois quarts des manuscrits que je reçois sont des psychothérapies, non des romans. Et franchement, vos petits problèmes personnels n’intéressent personne. Vous pouvez partir de vous, bien sûr, mais vous devez ensuite vous tourner vers les autres. Les lecteurs doivent se reconnaître dans votre histoire pour s’en émouvoir. Vous n’écrivez pas pour vous sinon vous ne chercheriez pas à vous faire éditer ! La démarche à suivre n’est pourtant pas très compliquée. Envoyez votre manuscrit complet (les synopsis, les projets d’écriture ne sont jamais acceptés) sur papier et tapé à l’ordinateur (les éditeurs refusent systématiquement de lire les manuscrits sur disquette ou écrits à la main). Accompagnez-le d’une petite lettre de présentation bien tournée (c’est très important pour l’éditeur : si elle est touchante, elle peut influencer la lecture). Renseignez-vous sur les différentes spécialités des éditeurs. Donnez-vous un peu de mal, ne l’envoyez pas à tout le monde, cela ne sert à rien ! La dernière chose importante à savoir : ne croyez surtout pas qu’en étant publié votre vie va changer. Tout d’abord parce qu’il est rare que l’on puisse vivre de ses écrits ; parce que votre premier livre peut passer complètement inaperçu ou parce que l’éditeur qui vous a lancé peut se rétracter par la suite et refuser de publier votre second livre. Soyez donc méfiants et surtout gardez toujours un peu de recul. »

Richard Ducousset, directeur général des éditions Albin Michel.

« Les cinq conseils que je donnerais à un auteur souhaitant se faire éditer sont :
1) N’écrire que s’il ne peut pas faire autrement, comme le conseillait R.M. Rilke à un jeune poète.
2) Ne publier que s’il ne peut pas faire autrement.
3) N’essayer de vivre de sa plume que s’il ne peut pas faire autrement.
4) Ne se soucier de l’opinion des autres que s’il ne peut pas faire autrement.
5) Et toujours aimer passionnément lire et écrire, quoiqu’il arrive. »

Barbara Streisand - Memories

Barbara Streisand - Memories
Vidéo envoyée par Patricia14

J'ai beau n'avoir QUE 32 ans!:) (Bouououhh!:(

Je suis une fan!!!

Barbara Steisand a une voix magique, à 12 ans je pleurais déjà en l'écoutant sans rien comprendre pourtant aux paroles! Mais cette rencontre a bercée pas mal de rêveries!

Feu d'artifices!

Samedi soir, nous sommes allés en famille retrouver des amis pour pique-niquer (ouff il faisait super chaud! Merci le Soleil!;) et puis ensuite nous avons pu admirer le feu d'artifices illustré par des musiques de pub! C'était original, il y avait de grands lasers et les regards émerveillés des enfants faisaient trembler mon pti coeur... Et vi que voulez-vous je suis hyper sensible môa!:)

Et vous qu'avez-vous de cette fête de la libération de la Bastille?

Ah oui je précise ceci parce que lorsque j'ai demandé à mon fils de 7 ans et demi pourquoi on faisait la fête le 14 juillet, il m'a répondu:

-Bah pour le feu d'articifices maman!

Ah là là...:)

Bon comme je ne suis pas une radine de photos, voici quelques clichés que j'ai réalisé, bon ils ne sont pas mirobolants, mais j'aime bien c'est la fête quoi!:))

Apprendre à devenir un écrivain!

Souvenez-vous il y a quelques jours je vous informais d'un encart publicitaire paru dans le magazine LIRE, celui faisait état d'une école appelée "école d'écrivains".

Pour en savoir un peu plus je les ai donc contacté par mail, et ils m'ont demandé mon adresse postale. j'ai donc reçu ce matin un petit dossier présentant les différents programmes de l'école.

Ah et pour la question que je m'étais posée: Évidemment c'est payant!

Première page des photos de Victor Hugo, Baudelaire...etc.. Avec une jolie phrase "Le choix naturel des auteurs en matière d'écriture"...

Ouaouhhh ça impressionne tout ça!!:) Tournons la page...

Là on nous livre l'approche de l'école, on nous explique qu'elle a été créée pour nous faire gagner un temps appréciable en apprenant immédiatement ce qu'il ne faut pas faire, les erreurs à ne pas commettre, quels sont les points forts que nous pourrions développer pour rendre littéraires nos textes selon les exigences de notre propre style... Hum...

Ils disent travailler toujours dans un souci d'analyse et d'amélioration de l'écriture de chacun. Donc on y va pour la correction de manuscrit (lecture, conseils, accompagnement de projets...) et pour les techniques d'écriture (roman, nouvelles, autobiographie, poésie...).

Ils ajoutent:

"Nous savons que pour l'écrivain isolé c'est l'occasion de ne plus se sentir complètement seul et de progresser en toute quiétude sur la voie d'une réelle créativité."

Bon ensuite la documentation présente les différents interlocuteurs, il y a un 1er prix des Arts et des lettres de France, une historienne, une passionnée de littérature, nouvelliste et une enseignante en littérature.

Ils précisent qu'une de leurs étudiantes publiée chez Ivoire-Clair a présenté son premier roman au Salon du livre 2005... Hum...

Bon les pages suivantes présentent enfin le contenu des programmes.

Les 10 cours: (au fait c'est une association loi 1901 qui existe depuis novembre 1997.

-Les débuts du récit

-Le point de vue (différencier l'auteur du narrateur...)

-Le héros

-Les personnages

-Le dialogue

-Le monologue

-Le suspense

-La fin

-Bâtir son roman (c'est marrant ça je l'aurais fait au début moi?!;)

-Bâtir son roman (2)

Tous ces cours se déroulent sur une période de 10 mois.

Ensuite il existe d'autres modules comme "les écritures diverses", "la nouvelle", "la poésie"...

Chaque module proposé est basé sur une période de 10 mois et on nous informe que le tarif est de 61€/mois... Mais!! Il existe aussi des modules plus courts (pour les impatients sans doute), là la période c'est entre 3 et 5 mois et le tarif varie de 183 à 305€.

Jusqu'ici je me dis, après tout pourquoi pas, ceux qui ont un peu d'argent et qui ont envie de travailler les techniques? Mais bon il n'y a pas d'exemple de cours... Ensuite une page m'a fait sourire:

"Grâce à l'école d'écrivains nos étudiants ont publié!"

Là je me dis: Ouuaouhh alors ça marche pour de vrai? Leurs cours permettent à de jeunes auteurs d'être publiés!!

Et puis je regarde les noms des auteurs cités avec les titres de leurs livres et les maisons d'éditions...

Éditions Mnémos, Le Manuscrit.com, Nord Patrimoine Éditions, Éditions Climats, Éditions Les Affolettes, Éditions Ivoire-Clair, Éditions Paroles d'Aube...

Bon je ne les connais pas toutes hein!! Mais celles que je connais sont toutes du compte d'auteur... Donc en gros avec ou sans l'école il suffit de payer ces maisons pour voir le projet du livre se concrétiser!

En soi je ne suis pas contre, mais je trouve ça navrant de dire que c'est "grâce à l'école"! Non c'est grâce à l'argent!

élève a donc dépensé 610 euros en moyenne sur 10 mois puis ensuite a été proposé son manuscrit dans des maisons qui ont du lui demander encore 3000 euros... Et il n'aura pas de retour sur investissement puisque ces maisons ne proposent pas de livres à l'auteur pour qu'ils les vendent lui même et récupère donc une partie de sa mise.

Je suis un peu triste, je crois que secrètement j'espérais découvrir une aide pédagogique payante! Mais pas payante au sens donner de l'argent hein!;) Mais qui permette vraiment d'être au moins lu par les maisons d'éditions à compte d'éditeur.

C'est un mètier cher le job d'écrivain finalement!;)

Vanessa Mattin

Voici une jeune femme pleine de vie qui nous a déjà fait rire avec son premier roman "Avec le temps"!
La voici qui récidive et qui signe ainsi son nouvel opus: "Télé Vénalité" chez Paulo Raumand.

Bonjour Vanessa, peux-tu nous parler de ce deuxième ouvrage?

-Comment envisages-tu de promouvoir ce roman?

Je vais me faire violence pour sortir de ma carapace et vraiment "accompagner" ce second livre. Par timidité, j'ai laissé le premier vivre sa vie tout seul, pour celui-ci, je tâcherai de provoquer des séances de dédicaces, des rencontres dans les bibliothèques locales... Et comme ça m'a plutôt réussi, je compte à  nouveau sur les articles de la presse régionale.

-Depuis quand écris-tu?

J'ai toujours aimé jouer avec les mots, toujours été sensible à leur pouvoir. Toute petite, je me souviens avoir apporté fièrement un poème que je venais d'écrire à mon père, sa réaction glaciale m'a complètement bloquée "ce n'est pas toi qui a écrit ça !". Que mon propre père ne me croit pas capable d'avoir des capacités dans ce domaine a du me conforter longtemps dans l'idée que je ne devais pas écrire.
Grâce aux encouragements de mon meilleur ami, aujourd'hui devenu mon illustrateur fétiche, je me suis mise "sérieusement" à écrire il y a cinq ans.

-Comment fais-tu pour concilier le boulot de maman, le boulot de euhh du boulot!:) et l'écriture?

J'ai eu le privilège de profiter de trois ans de congé parental où tout s'équilibrait plutôt bien. Le temps que ma fille cadette passait à dormir, je l'utilisais pour écrire pendant qua sa grande soeur était à l'école. Aujourd'hui, avec la reprise de mon poste à temps plein, c'est plus délicat. L'inspiration est toujours là, mais le temps me manque.

-Penses-tu que l'on puisse vivre de ses écrits?

Je crois savoir que 100 personnes en France vivent - ou  vivotent - de leur plume. C'est un ratio infime par rapport aux milliers d'auteurs qui sont publiés. Je n'y pense même pas un seul instant pour mon cas, ma seule ambition est de continuer à éprouver du plaisir dans l'écriture et à le partager avec mes lecteurs.

-Quelle est ta méthode de travail? Fiches, thématique?...

Je suis une instinctive, je n'applique aucune méthode. M'astreindre à une quelconque rigueur retire immédiatement tout le plaisir que je ressens lorsque j'écris. Ce qui ne signifie pas pour autant que je ne travaille pas comme une acharnée ! A partir du moment où une idée germe dans mon esprit, je vais la développer en créant une situation de départ. Puis l'histoire va évoluer de façon aléatoire au fil de l'inspiration. Quand je commence un chapitre, je suis incapable de prévoir de quelle façon il se terminera, alors la fin du récit... ! Mon histoire n'a aucune ossature, tout au plus un fil conducteur, je m'efforce d'en maintenir la cohérence en me relisant continuellement, ce qui me permet d'étoffer le récit, de donner de la profondeur aux personnages...

-Tu écris des romans caustiques, est-ce qu'ensuite tu vas t'essayer à un côté plus sombre? moins décalé ?

Je pense que mes livres me ressemblent : ils sont légers, optimistes, plein de dérision et de simplicité, je ne crois pas être capable d'écrire différemment. Dans "écrire", il y a "rire", je ne peux pas dissocier ces deux éléments.

-Combien de temps mets-tu pour écrire un livre ?

C'est variable. J'ai attendu si longtemps avant de me lancer dans l'écriture du premier qu'il s'est quasiment écrit tout seul en 4 ou 5 mois. Le second a nécessité une bonne année de travail. Les textes de chansons se font en quelques heures, les contes pour enfants également.

-Tu as déjà des idées pour le prochain?

Les idées ne manquent jamais, j'adorerais trouver un bouton "arrêt" tant je bouillonne en permanence ! C'est malheureusement le temps qui me fait défaut. Je n'ai écrit que 4 pages en 3 mois, je crains que ce troisième roman ne paraisse pas avant une dizaine d'années !

-Je sais que tu es une experte dans le domaine de la correction, cela ne t'a jamais tenté de devenir "écrivain public"?

J'y ai songé mais il y a de nombreux aspects qui ne me correspondent pas dans ce métier. Je ne me vois pas du tout passer le plus clair de mon temps à aider les clients à rédiger des lettres pour leurs démarches administratives par exemple. Je préfère continuer à corriger quelques manuscrits de temps en temps, pour le plaisir de rendre service à des amis (surtout lorsqu'ils me rémunèrent en chocolats !!!)

-Quelle est ta chanson préférée?

Il y en a des tas, je suis une boulimique de musique ! Je suis une inconditionnelle des textes de Goldman ou de Zazie, cette femme m'épate, elle allie l'intelligence, l'humour, la simplicité avec un tel talent. Je suis aussi bluffée par la voix de Maurane.

Côté international, je suis fan de tubes comme "purple rain" de Prince ou "with or without you" de U2.

-Quel est ton livre préféré?

Tiens, c'est drôle, en y réfléchissant, je n'en ai pas ! Je me souviens avoir été bouleversée ado à la lecture des "Fleurs du mal" de Baudelaire ou de "L'écume des jours" de Boris Vian. Mais non, je n'ai pas de livre de chevet !

-Et sinon tu es heureuse dans la vie? il te reste des rêves à accomplir?

Très heureuse ! J'ai tout pour l'être : des tonnes d'amour à partager et des tas de projets en tête. J'espère être capable d'écrire une bonne vingtaine de romans avant de ne plus avoir toute ma tête (j'ai déjà une bonne avance d'après mes proches !), j'ai l'espoir de voir mes contes publiés cette année et que mes textes de chansons trouvent  mélodies à leur goût ! Sans oublier un recueil collectif de nouvelles qui cherche encore un éditeur à séduire, n'est-ce pas ?!

-Qui sait? Ce reuceil finira peut-être par trouver éditeur?...

Vanessa je te remercie d'avoir répondu, je te souhaite bon courage pour cette nouvelle aventure!

N'hésitez pas à vous procurer son ouvrage chez Paulo Raumand!!

Au fait, c'est quoi un Best-Seller?

Bon comme je compte bien faire parti des prochains Best sellers!... bah quoi comment ça je ne suis pas crédible??;)

Bref je me demande s'il y a une recette... Voici en attendant la définition:

Un best-seller est un livre dit à succès en raison de l'apparition de son titre dans certaines listes. Dans la vie courante, le terme « best-seller » n'est pas une indication du nombre de copies vendues, de la qualité académique ou de l'importance littéraire du livre. Donc, accoler l'adjectif de best-seller à un livre est en partie arbitraire. D'ailleurs, certains livres sont devenus des best-sellers une fois qu'ils ont été étiquetés comme tel.

Les best-sellers sont habituellement divisés en deux groupes : fiction et non-fiction. Dans le cas de romans, un important effort marketing est fourni par les différents acteurs de la chaîne de publication pour créer un engouement autour du titre.

L'idée de best-seller est relativement récente dans l'histoire de l'humanité, car il faut une capacité de

• produire d'énormes quantités de livres
• distribuer ces livres
• mesurer ces quantités
• transmettre les informations voulues à de nombreuses personnes

Donc si je met un bandeau touge sur mon livre avec écrit: Le Best-Seller de la rentrée! Vous croyez que ça va fonctionner??!:)

Bon continuons dans la description de M.Wikipédia:

Pour créer un best-seller selon les critères modernes, il faut certains acquis : production d'énormes quantités de livres, distribution de ces livres, mesure relativement efficace des quantités distribuées et transmission de l'information. Toutes ces opérations doivent s'effectuer à un coût raisonnable. Depuis l'invention de l'imprimerie par Gutenberg, les livres populaires sont souvent copiés sans compensation. Il a fallu attendre la fin du Siècle des Lumières pour que cette pratique devienne négligeable selon les critères modernes. Pour cette raison, il est difficile de connaître le nombre de copies de Don Quichotte (1605) écrit par Miguel de Cervantes, même si l'on sait que l'ouvrage fut immensément populaire pendant une certaine période. Le même argument s'applique à l'édition 1534 de la Bible de Martin Luther.

Par contre, La Bible (toutes versions confondues) serait le premier best-seller connu. Lorsqu'elle est publié, elle est lue à travers le monde entier.

Ah vi la Bible est un Best-Seller... Hummm difficile de plagier une telle oeuvre n'est-ce pas?!:)

Il est à noter que c'est à partir du XX^e siècle, avec le système des droits d'auteur, que plusieurs auteurs ont commencé à vivre de leur plume, certains recevant d'ailleurs des montants très élevés.

Les best-sellers sont généralement classés en deux grandes catégories : fiction et non-fiction. Cette catégorisation est précisé par des sous-catégories. Par exemple, le New York Times a ajouté à sa liste une section pour les livres jeunesse, cela dans le but de diminuer l'importance des livres de la saga Harry Potter qui apparaissaient régulièrement en position 1, 2 et 3 dans la liste des œuvres de fiction ^[1].

Les best-sellers peuvent aussi être classés selon qu'ils sont à couverture rigide (hardcover) ou souple (paperback). Chronologiquement, le livre à couverture rigide, plus prestigieux, sort quelques mois avant sa contrepartie à couverture souple, moins coûteux. La notoriété de la version à couverture rigide influe souvent sur l'autre.

Au Royaume-Uni, un livre à couverture rigide est estimé un best-seller lorsqu'il s'en vend entre 4 000 et 25 000 copies par semaine. Au Canada, c'est plutôt 5 000 copies. Dans tous les cas, ces nombres sont relativisés. Par exemple, un livre de sociologie peut se vendre à 300 copies par semaine et être étiqueté best-seller, car la plupart des livres dans ce domaine se vendent nettement moins bien.

Il existe plusieurs listes de best-sellers, certaines contenant 10 titres, alors que d'autres en contiennent 150. En Amérique du Nord, le New York Times Best Seller list est probablement la plus connue. Dans le Commonwealth, la liste des lauréats du prix Booker en fiction pourrait faire un tel office, bien que publié seulement une fois l'an.

Bon je vais pas recopier tout Wikipédia, mais en bref si je résume super vite, un Best Seller c'est avant tout une histoire de médiatisation, non?

L'éditeur prend un risque, ok mais s'il a les moyens d'innonder le marché avec un seul livre, d'en faire parler à la télé, dans les magazines c'est certain il sera acheté!

Donc un best Seller c'est un bouquin que l'on voit partout et du coup on a envie/besoin de l'acheter! Société de consommation quoi... On veut ce que l'autre a, ensuite se poser la question:

le best seller choisi nous a plu parce que tout le monde en parle? (Da Vinci Code) ou pour ses réelles qualités?

Wikipédia:

Bien que la définition de best-seller soit simple selon n'importe quel dictionnaire : « livre populaire parmi les meilleurs vendeurs », sa définition culturelle est nettement plus complexe. Puisque les listes de best-sellers destinées au grand public ne donnent pas les critères retenues, tels les ventes, les périodes de ventes, les ventes par région, et ainsi de suite, un livre est un best-seller si une « autorité » affirme que c'est le cas. Par exemple, étiqueter un livre comme « best-seller » n'a pas autant d'impact que d'affirmer qu'il est gagnant du prix Booker, bien que dans le premier cas, on se base sur les ventes, alors que dans le deuxième cas, on se base sur une liste connue dans le Commonwealth. Un livre étiqueté « best-seller » a plus de chances d'être vendu à un grand public. Pour cette raison, « best-seller » a pris une signification populaire basé sur des données empiriques. Par exemple, un best-seller d'été est souvent sélectionné bien avant la fin de saison estivale, mais cela indique un livre qui peut être lu par tous les vacanciers.

Aux É.-U., le terme (en) underground bestseller (que l'on peut traduire par « best-seller de l'ombre ») permet de mieux comprendre pourquoi un best-seller est souvent créé sans tenir compte des ventes réelles. Dans les années 1990, HarperCollins a suggéré qu'un roman avait le potentiel de devenir un best-seller en annonçant que le livre précédent du même auteur était un underground bestseller. Le roman est devenu un best-seller.

Recueil de nouvelles

Suite de l'aventure du recueil de nouvelles concoté par plusieurs auteurs rencontrés via le Net...

Donc à ce jour, nous ne comptons même plus les lettres de refus, mais je pense que bientôt le dossier sera aussi épais que notre recueil!

Bon alors doit-on remettre en cause notre travail?

Bah oui, déjà parce que si c'était le recueil le plus magnifique et le plus talentueux il aurait déjà été selectionné partout! Ensuite parce que nous avons commis l'erreur de ne pas suivre un thème précis (ggrr pourtant je l'avais bien dit hein!:))

Bon c'est vrai aussi que les nouvelles se vendent moins bien de nos jours, pourtant rien de mieux pour donner l'envie de lire!! Enfin à Mon avis!:)

Bref nous attendons encore deux réponses: "L'olibrius" et "les points sur les i"... Ensuite je crois que si là encore nous obtenons des refus j'arrêterais et je me concentrerais sur un tout nouveau projet que m'a proposé une amie: un livre pour enfant!

Vous n'imaginez même pas comme je suis enthousiaste à l'idée de m'atteler à cette nouvelle aventure! Un nouveau défi à relever pour Super Babeth!!:)

Creative Writing

Qu'est ce que c'est??

Objectif

Développer et approfondir ses capacités à écrire de la poésie et de la prose fictive.

Contenu

Utilisation des ressources de la langue : ponctuation, vocabulaire, syntaxe, grammaire, sons et musicalité. Processus de l'écriture créative : comment amorcer un écrit; limitations des clichés, concision (mots inutiles); comment éviter la perte de l'impulsion initiale; confiance et vérité. Ces techniques sont surtout enseignées aux Etats-Unis, il semblerait donc que ces cours permettent de développer un sens aigu de l'écriture au sens romanesque. On sait maintenir le lecteur en haleine, raconter une histoire avec une trame assez identique... Etrangement on en parle peu en Fance alors que certains auteurs reconus appliquent eux-mêmes ce techniques... Si vous avez des informations sur le Creative Writing laissez vos commentaires, je suis friande (mais pas de viande hein!;) de tout renseignement!

Lu aujourd'hui

Lu ce matin sur "De source sûre!"

Marc Levy veut nettoyer le web de ceux qui l'aiment pas

INTERNET+JUSTICE Nous apprenons à l'instant par notre confrère bakchich.info que le romancier Marc Lévy a attaqué et gagné en justice contre un forum Internet qui déblatérait sur lui et relayait diverses rumeurs dont celle-ci concernant l'hyper-première dame et une autre concernant une journaliste de Paris-Match. Rappelons que Paris Match est le dernier spot de drague à la mode et que ses journalistes sont des tigresses qui menacent ceux qui parlent d'elles sur Internet. En résumé, il attaquait le site mixbeat.com pour injures et diffamation. Le Tribunal a retenu les injures mais pas la diffamation. Il est donc autorisé d'écrire, comme l'a fait un commentateur sur le site que Marc Lévy est de ces "hommes qui abrutissent le peuple avec peu de vocabulaire” . On peut même le répêter sans guillemets : Marc Lévy est de  hommes qui abrutissent le peuple avec peu de vocabulaire. > Les détails sur bakchich.info > Le site de Marc Lévy vaut le détour > Sa wikibio est aussi sommaire que son oeuvre

Et bien comme vous le savez j'apprécie ses romans, normal je fais partie du peuple!:) Et j'apprécie l'homme qui a toujours pris le temps de me répondre face à mes doutes.

Bref par contre cela prouve que l'on ne peut pas dire tout et n'importe quoi même sur le Net! C'est un peu comme Lafesse qui a réussi à obtenir réparation pour la diffusion de ses sketchs sur Daylimotion... Le Net ne peut pas tout prendre gratuitement... Il y a des risques... Et puis on ne peut pas insulter juste par plaisir, ne pas aimer est une chose, détruire en est une autre!

Article sur Lafesse (lu sur CLUBIC):

Le « professeur Ledoux » perdrait-il son sens de l'humour dès que l'on touche à ses intérêts ? Après avoir réussi à faire condamner quelques particuliers, qui exploitaient ses vidéos sans son consentement, le comique Jean-Yves Lafesse espère désormais faire jouer la responsabilité des hébergeurs de vidéo tels que YouTube, MySpace ou Dailymotion, et réclame plusieurs millions d'euros de dommages et intérêts.

Une rapide recherche sur YouTube révèle effectivement la présence de dizaines de vidéos empruntées aux passages TV et DVD de l'humoriste français et certaines ont été vues plusieurs dizaines de milliers de fois. Conséquence : Lafesse et sa société ont entrepris, selon le Figaro, de réclamer début 2007 huit millions d'euros à YouTube, dont deux millions au titre de son préjudice moral. Dailymotion ferait l'objet d'une procédure similaire, mais portant sur un montant moins important, de l'ordre de 1,5 million d'euros. Enfin, la justice aurait été saisie en référé pour le cas du portail américain MySpace, sur lequel elle devrait se prononcer rapidement.

Régulièrement confrontés à des procédures de ce type, ces différents services se retranchent derrière leur statut d'hébergeur, et plaident qu'on ne peut, au titre de la LCEN (loi pour la confiance dans l'économie numérique), les tenir responsables des contenus qu'ils diffusent dans la mesure où ils acceptent de retirer ces derniers si les ayants-droit se manifestent. D'autres plaintes et assignations seraient en préparation, indique le Figaro.

INTERNET+JUSTICE Nous apprenons à l'instant par notre confrère bakchich.info que le romancier Marc Lévy a attaqué et gagné en justice contre un forum Internet qui déblatérait sur lui et relayait diverses rumeurs dont celle-ci concernant l'hyper-première dame et une autre concernant une journaliste de Paris-Match. Rappelons que Paris Match est le dernier spot de drague à la mode et que ses journalistes sont des tigresses qui menacent ceux qui parlent d'elles sur Internet. En résumé, il attaquait le site mixbeat.com pour injures et diffamation. Le Tribunal a retenu les injures mais pas la diffamation. Il est donc autorisé d'écrire, comme l'a fait un commentateur sur le site que Marc Lévy est de ces "hommes qui abrutissent le peuple avec peu de vocabulaire” . On peut même le répêter sans guillemets : Marc Lévy est de  hommes qui abrutissent le peuple avec peu de vocabulaire. > Les détails sur bakchich.info > Le site de Marc Lévy vaut le détour > Sa wikibio est aussi sommaire que son oeuvre

Et bien comme vous le savez j'apprécie ses romans, normal je fais partie du peuple!:) Et j'apprécie l'homme qui a toujours pris le temps de me répondre face à mes doutes.

Bref par contre cela prouve que l'on ne peut pas dire tout et n'importe quoi même sur le Net! C'est un peu comme Lafesse qui a réussi à obtenir réparation pour la diffusion de ses sketchs sur Daylimotion... Le Net ne peut pas tout prendre gratuitement... Il y a des risques... Et puis on ne peut pas insulter juste par plaisir, ne pas aimer est une chose, détruire en est une autre!

Article sur Lafesse (lu sur CLUBIC):

Le « professeur Ledoux » perdrait-il son sens de l'humour dès que l'on touche à ses intérêts ? Après avoir réussi à faire condamner quelques particuliers, qui exploitaient ses vidéos sans son consentement, le comique Jean-Yves Lafesse espère désormais faire jouer la responsabilité des hébergeurs de vidéo tels que YouTube, MySpace ou Dailymotion, et réclame plusieurs millions d'euros de dommages et intérêts.

Une rapide recherche sur YouTube révèle effectivement la présence de dizaines de vidéos empruntées aux passages TV et DVD de l'humoriste français et certaines ont été vues plusieurs dizaines de milliers de fois. Conséquence : Lafesse et sa société ont entrepris, selon le Figaro, de réclamer début 2007 huit millions d'euros à YouTube, dont deux millions au titre de son préjudice moral. Dailymotion ferait l'objet d'une procédure similaire, mais portant sur un montant moins important, de l'ordre de 1,5 million d'euros. Enfin, la justice aurait été saisie en référé pour le cas du portail américain MySpace, sur lequel elle devrait se prononcer rapidement.

Régulièrement confrontés à des procédures de ce type, ces différents services se retranchent derrière leur statut d'hébergeur, et plaident qu'on ne peut, au titre de la LCEN (loi pour la confiance dans l'économie numérique), les tenir responsables des contenus qu'ils diffusent dans la mesure où ils acceptent de retirer ces derniers si les ayants-droit se manifestent. D'autres plaintes et assignations seraient en préparation, indique le Figaro.